soirée resto [pv kakeru]

la jeunne femme ne repondit rien, elle laissa ayu sortir,elle attendit qu'il soit loin pour s'approcher encore du vide ...quand ayu serais dehors elle se tuerais. Elle ne voulais pas qu'il la voie mourire .elle voulais qu'il soit loin quand l'adolecente laisserais la vie derriere elle ... elle voulais se tuer.,elle voulais être incapable de survivre. Elle decendit de la fenetre et se dirigea evrs la cuisine. Ayu etais partit.Elle pris ses somnifaire,et ses calment . Elle refit son lit. Et s'assise dessus, elle observa longement les boites de cachets puis en sortit une plaquette.la jeunne femme retira tout les cachet de sa boite,les alignent tous les uns a cauter des autres. elle alla se preparé un verre d'eau, et fermer la porte de l'appart a clef. un par uns elle avala les cachet, bientot elle mourais .elle but le verre d'eau qu'elle s'étais préparer et s'allongea sur le lit,elle entra dans le lit Doucement la jeunne femme s'enfonça dans un someille profond, elle savait qu'elle ne se reveillerais jamais, et que l'on mettrais des jours avant de la savoir morte.Elle savait que ayu serais soutenu par sa famille. elle savais que l'assurence vie etais se qui importais le plus a ses parents. Elle savais qu'elle avais cette assurence vie, et que ses parents ne seraispas derenger de la savoir morte. La jeunne fille eut un someille sans repos, mais si lourd qu'elle ne se reveillerais pas.ayu ne la sauverais pas cette fois si, parcequ'ayu était loin a présents, il ne reviendrais plus jamais la voir.

Ayu se senti coupable d'etre sorti, et la situation ne le rassurait guere. Il fit irruption chez les voisins pour appeler un médecin, un psychologue et une équipe de pompier avec pour justificatif une adolescente faisant une tentative de suicide. L'équipe d'intervention mettrait bien 10 minutes à arriver, c'était trop long. Il entendit le déclic particulier de la porte que l'on verrouille, qu'à cela ne tienne, il était assez fort pour défoncer une porte d'un coup de pied, cela ne le retiendrait que peu. Sous les regards de ses voisins désabusés, il s'avança vers la porte d'un pas calme, puis, se concentrant, respirant aussi calmement que possible, il concentra toute son énergie dans le coup de pied qu'il allait donner. Tout se passa tres vite. Un coup, un bruit sourd, puis la porte qui ouverte qui vient se fracasser dans me mur, laissant la marque de la poignée dans celui ci. Ayu s'avance en courant, et ne voit plus Kakeru à la fenetre, Paniqué, il fonça vers celle ci et regarda... Rien, Kakeru n'avait pas sauté, mais où était-elle? Ayu vérifia tout l'appartement, et finit par la trouver allongée, inanimée dans la chambre, un verre fracassé par terre, et une boite de cachet vide à coté de sa tête. Regardant rapidement la boîte, il vit qu'elle n'allait pas simplement dormir, avec la dose qu'elle avait prise. sa respiration filait, ralentissait, et se faisait de plus en plus faible. Les pompiers arrivèrent tandis que le coeur de Kakeru ne battait plus depuis quelques secondes a peine et lui dispensèrent les soins d'urgence, lui faisant massage cardiaque et l'oxygènant à l'aide d'un masque, l'un des pompier redescendit à leur véhicule chercher un défibrilateur portable et revint tres vite. Il découpèrent rapidement le t-shirt de Kakeru laissant apparaitre sa poitrine couverte par son soutien gorge, et placèrent les électrodes. la premiere charge n'eut aucun effet, et Ayu était mort d'inquiètude, la deuxieme et la troisieme charge, à des intensités plus élevées, n'eurent guère plus d'effet, mais Ayu insistait pour qu'ils continuent les soins. Ce fut avec un soulagement intense que le battement du coeur revint, tres faiblement, mais il était là. la respiration se faisait tout aussi lente, et, recevant toujours les soins d'urgence, Kakeru fut amenée au véhicule d'intervention pour etre transportée à l'hôpital. Ayu, chancelant, s'avança vers la fenetre, manquant de tomber par celle ci, et vit le véhicule rouge rouler à toute allure tournant déja au bout de la rue.

kakeru sentais revenir , pourquoi ?pourquoi es cequ'elle revenais si vite ? Et pourquoi es ce qu'elle ne se reveillais pas non plus ?la jeunne femme était dans se qu'on apelle le coma ... pourquoi ne pas l'avoir laisser mourire ? pourquoi ? Pourquoi es ce qu'ayu ne l'avais pas laisser dormir a toput jamais ? elle sentais son corp se rattacher a elle ? Elle se sentais ... survivre sans jamais revivre La jeunne femme ne se reveillerais pas ? Elle voulais mourir, elle voulais terminer une fois pour toute mourire.
La jeunne femme fut tranféré dans un grande chambre vide, elle fut transpercere par une perfusionelle entendais sans cesse le bip incessen sans pouvoir l'arrtter ,elle en devenais folle

Le jeune homme ne pouvait rien pour l'adolescente... Il courut dans la rue, vers l'hopital, bousculant les passants qui se mettaient en travers de son chemin. Il sentait un point de côté lui percer l'échine, mais n'y faisait guere attention. A chaque minute qui passait, il s'infligeait une profonde lacération dans la peau avec un de ses couteau, chacune de ces minutes, chacune de ces coupures le rapprochaient de Kakeru, qui se trouvait dans un état stable mais inquiétant cependant. Lorsqu'il arriva à l'hopital, pas moins de treize profondes coupures couraient sur ses cuisses, devant, derriere, et sur les cotés. A peine arrivé, le pantalon collant de son sang, il demanda la chambre de Kakeru et s'empressa au numéro qu'on lui avait indiqué. Aucune douleur ne lui parvenait, et il regrettait cela, desespéré de ne pouvoir souffrir tout comme devait souffrir celle qu'il aimait et qu'il eut jamais aimé. Lorsqu'il fut arrivé, il s'arreta dans une longue glissade et se jeta auprès de Kakeru, prenant sa main affreusement froide dans la sienne, la frottant comme si cela pouvait la ramener a lui.

Le signal sonore de l'électrocardiogramme était régulier, symbolisant la vie de l'adolescente. le sang du jeune étudiant s'écoulait à présent sur le sol, laissant apparaitre peu a peu une flaque de sang au pied du lit immaculé de la jeune fille. Ayu posa sa tête sur le ventre de la comateuse puis ne cessa de fixer son visage, peu à peu il ferma les yeux, et perdit connaissance après avoir prononcé:

Kakeru, je t'en supplie... reviens moi, je ne puis vivre sans toi.

[i]la jeune femme entendais très bien se que Ayu lui disais, elle savais reconnaitre la voix douce du jeune homme.Elle savait aussi reconnaitre la voix affoler et tremblante du garçon qu'elle aimait.Elle entendais très bien ,la demande d'Ayu. Mais pourrait elle répondre ? elle était pas capable de se réveiller ,elle ne pourrait pas ouvrir les yeux et sourire,lui caresser la joue et l'embrasser comme avant, non la jeune femme ne pourrait pas non plus lui ordonner de s'en aller,elle ne pouvait que rester là à écouter la voix affoler de Ayu.Car elle s'était enfoncer dans le noir le plus profond et le plus triste qui aurait pu exister, celui du trou noir entre la vie et la mort: le coma. Kakeru laissa passer une demi heure, Ayu était partit ?, elle entendit alors soudain un grand bruits, Des inférmiérs qui criaient "beaucoup de sang","èmoragie", "recoudre". Es ce qu'elle allait enfin mourir ? Elle serait enfin libérée de se trou noir ;de cette vie qui lui avais souvent jouer de mauvais tours. .Tout d'un coup plus rien,plus personne , plus de voix, juste le bruits incessant de l'électrocardiogramme.
Soudain la jeune fille compris..le silence de ayu, le sang.,elle compris sans comprendre, Ayu aurait fais une bètise ? Si c'était le cas pourquoi rester en vie et tenter en vain de se réveiller....elle se laisserait mourir

Ayu s'était éffondré a demi inconscient sur le ventre de Kakeru, la flaque de sang était grande a présent, mais lorsque l'infirmiere qui surveillait l'état de Kakeru entra, ce fut d'abord un cri, puis une alerte et enfin un groupe de médecin qui se précipita sur Ayu alors que ce dernier ne voulait pas quitter l'aimée endormie. Il tendit péniblement sa main vers celle ci, retardant le plus possible l'instant où il sera séparé d'elle. Avant qu'il ne fut sortit de force de la pièce, il dit a Kakeru, aussi fort qu'il le pouvait:

Reviens moi dans le monde vivant Kakeru, je t'y attendrais. Si tu ne reviens pas, je succomberais avec toi, en me vidant de mon sang.

Les médecins parlaient de sang d'hémorragie et de recoudre, mais Ayu ne voyait rien d'autre que sa Kakeru allongée paisiblement. Il prit de son sang sur sa main et le lapa, comme un chien, goutant à la douce saveur du sang frais, puis s'évanouit, manquant de sang dans son corps. Il la voyait soudain plus nettement, la mort, mais aussi Kakeru, qui semblait s'y etre attachée. Dans sa vision, il cria:"REVIENS MOI KAKERU! REVIENS MOI! JE NE PUIS VIVRE SANS TOI! KAKERU? SI TU NE REVIENS PAS, C'EST MOI QUI VIENT TE REJOINDRE!"

Kakeru entendit soudain la voix du garçon... elle avait peur ... peur de pas se réveiller et qu'il ne parte plus loin qu'elle ... peur qu'il meurs... et qu'elle se réveille trop tard.Elle voulais se réveiller mais elle n'y arrivais pas ... elle voulais qu'il la sauve ,elle voulais s'excuser auprès de lui sans pouvoir y arriver même si elle faisait des effort pour se battre ... arriverais elle a se réveiller un jours.

"attend moi je t'en supplie ne pars pas sans moi ..."

elle aurait tellement aimer le lui crier ... mai mal grés les ordre de son cerveau... sa bouche restais close et elle ne se réveillerais jamais ou alors dans longtemps ... 1 semaine ? deux semaine ? 1 mois ?un ans ? combien de temps avant que la jeune fille puisse revoir la lumière ... si elle la revois un jour

Ni une ni deux, Ayu se retrouva sur le billard, sous anesthésie car les médecins en avaient assez de le voir essayer de descendre pour aller voir Kakeru. Durant ses reves, il la voyait qui se débattait dans le noir. Le jeune homme se faisait recoudre les plaies, il en eut pour environ soixante-dix points de suture pour recoudre ses plaies, le sang était épongé et il recevait des perfusions du sang qu'il avait indiqué dans son porte-feuille. Combien de temps allait-il devoir dormir? combien de temps devrait-il rester inactif? Durant ce sommeil qui lui parut si court, il fut recousu puis emmené en salle de réveil, où il se réveilla environ deux heures plus tard. A peine fut-il réveillé qu'une infirmiere vint lui injecter un sédatif qui le renvoya aussitôt dans des reves obscurs peuplés par Kakeru se débattant des bras d'une personne nommée Satan. Lorsqu'il se réveilla à nouveau, il se trouvait toujours dans un lit, mais dans la chambre de Kakeru, qui semblait dormir... Ou était-ce toujours le coma?

Kakeru s'était réveiller dans la nuits.Elle avais eu une montée de fièvre et s'était rallonger pour se rendormir...elle ouvrit les yeux et vit ayu qui l'observais dans son sommeille , il était torse nu et il boitais ,il boitais beaucoup il y avais une paire de béquille poser contre le mur prés de son lit. Il s'était assit sur une chaise... elle était horriblement fatiguée.Et elle avait honte... horriblement honte... elle ne voulais pas parler... elle ne voulais plus jamais parler... elle tourna le dos a ayu qui l'observais en silence. Elle ferma les yeux et se rendormit, elle aurait voulu que sa se termine plus rapidement que ça ... ayu avais un perfusion au bras, qu'es ce qu'il lui était arriver ? Kake ne se rappellait plus de rien ,tout se qu'il s'était passer pendant son coma, les voix qui lui parlais, les menace de ayu ... les pleures aussi ...elle n'avais plus aucuns souvenirs ... elle ferma les yeux pour se rendormir

23h30, salle de réanimation... Ayu s'était réveillé, encore sous l'effet des sédatifs, il ne se souvenait plus de ce qu'il s'était fait aux jambes, mais il s'en rappela bien vite, lorsqu'il tenta de se lever... A peine eut-il posé les pieds au sol qu'il tomba dans un bruit sourd sur le sol. Se levant avec peine, il aperçu les béquilles qu'une âme bienveillante avait laissé là à son attention. Lorsqu'il eut parfait sa coordination entre jambes et béquilles, le jeune homme prit le chemin de la chambre de Kakeru. Une fois arrivé, il vit qu'elle était là, toujours inanimée.
1h30 du matin,Chambre de Kakeru... Ayu était adossé à une chaise et regardait Kakeru dans son paisible et inquiétant sommeil. Au bout d'un moment qui lui parut etre une éternité, Kakeru ouvrit les yeux. L'étudiant cru un moment qu'il avait halluciné, poussé par le désespoir... Mais non. Elle était bien là, éveillée, mais lui tourna le dos et se rendormit. Ayu fut rassuré par le fait qu'elle soit réveillée et pu s'endormir à ses cotés, posant sa tete dans le creux des jambes de l'adolescente.

Kakeru ferma les yeux, elle ne dormais pas encore, elle avais peur.

Pardonsouffla elle

elle ferma alors les yeux elle sentit la tête de ayu se poser aux creux de ses gambe derrière ses genoux elle soupira un grand coup et attendit qu'il s'endorme,mais non il avait juste posé la tête il l'avais entendu parler, il l'avais laisser parler.oui elle s'était reveiller, oui elle avais peur de ne perdre ayu mais oui.. elle ne se sentais pas capable de continuer a vivre, elle était si épuiser

Pardon...soufla elle encore une fois l'air épuiser par la vie.pardonne moirépéta elle

Elle se releva et posa sa main sur la joue du garçon, il était surpris. pourquoi ?!

Ayu resta ainsi, la tête dans le creux des jambes de l'adolescente, dans la chaleur si apaisante de son corps en vie. L'adolescente se mit a parler, faiblement, comme si elle expirait malgré le fait qu'elle était sauve. Ayu savait qu'il faudrait du temps pour que Kakeru se remette de son experience, souffrance physiologique et mentale. Pour Ayu, ce n'étaient que des blessures physiques, rien de comparable... Lorsqu'elle lui demanda pardon, Ayu ne bougea pas, mais lorsque l'étudiante posa sa main sur sa joue, le jeune homme ne put réprimer un frisson, la peau de la fille était chaude, mais le probleme est qu'il craignait qu'elle ne puisse plus jamais faire ce geste. Il posa alors sa main sur celle de Kake et la serra doucement en réponse à sa demande de pardon. Il tourna la tete et déposa un baiser sur la main de Kakeru, et la serra contre son coeur.

Kakeru sentait les larme lui dévaler les joues,il était là... il était là pour elle, et il ne partirais plus. Mais kakeru se sentais tellement fatiguée. sa main tremblais légèrement ayu était froid.elle savais que rien ne serais plus pareil.ayu la comprenais mais elle se sentait si seule. comme dans un noir èpet comme quand on s'enfonce dans un tunnel sans lumière elle sentais que sans ayu rien ne pourrai la faire sortir de se tunnel ayu tremblais lui aussi... il ne répondais rien. ce n'était pas dérangent mais.. elle se demandais si il n'était pas fâcher contre elle

garde moi auprès de toi... même si je ne suis pas comme les autres ..souffla elle encore une fois

Elle garda sa main sur la joue de ayu.ses cheveux lui tombais sur le visage elle tremblais encore un peux elle souleva la tête de ayu et la posa sur ses genoux ,elle lui caressa ses cheveux, il avais les yuex fermer, il ne réagissais presque pas

Tu sais je ne vais pas bien...alors pardonne moi.. ne me laisse pas

elle pleurais encore plus .

pitier....

Ayu n'avait pas réagi jusqu'à présent, mais lorsqu'elle prononça le mot "pitié", son silence se montrait inquiétant. Il serra la main de Kakeru dans la sienne puis lui dit d'une voix douce:

Allons Kake-puce, tu n'as pas besoin de me demander pitié, je t'aime plus que tout au monde, je ne te laisserais pas seule... je sais que ça ne va pas, mais je suisz ici, avec toi pour surmonter cet obstacle. Ne m'abandonne pas, j'ai tant besoin de toi... Je ne pourrais survivre a un départ.

la tete sur les genoux de kakeru, il la regardait avec amour tandis qu'il couvrait sa main de doux baisers

kakeru avait un regard vide, cerner, un teint pale. sa peau déjà blanche de nature était livide. on voyais dans l'expression de ses yeux comme une peur infondée, elle avait les main tremblante a chaque baiser de ayu elle sursautais .elle ferma les yeux ..il était tard... elle s'endormie comme une enfants qui venais de faire un cauchemar.. le lendemain elle se réveilla vers midi. ayu la regardais dormir d'un air absent, lui aussi n'avais pas l'air très bien dans sa peau...Comme si le mal de kake faisais tomber malade ayu... elle fit un signe de la main sa main toujours tremblante... kakeru ne ressemblais pas a la kake de lors de la rencontre des deux jeune gens,kakeru qui était si douce, si belle,kakeru qui avait habituellement les joue rose et cette air d'enfants kakeru avait le visage décomposer, palle comme une morte, les yeux cérners et un air effrayer ,à la lumiére c'était encore plus visible, ayu sembla être quelque peu surpris par son visage, elle se cacha immédiatement avec des cheveux

pardon.. je suis... horrible

les tremblement de kakeru s'accentuairent , a présent la jeune fille avait des frisson . Un psychologue entra dans la pièce.il demanda a ayu de sortir pour pourvoir faire sa consultation....une demi heure plus tard il sortit de la chambre l'air grave et observa quelques secondes ayu

-"elle va devoir resté encore pas mal de temps ici... je ne sais pas se qu'il s'est passé dans sa vie mais ,elle a l'air détruite"

Ayu était encore là, dans la chambre, regardant Kakeru dormir jusqu'à ce qu'elle s'éveille. Elle était comme morte, mais vivante, son corps semblait sans vie, mais bougeait quand meme, mû par le coeur battant de l'adolescente. Celle-ci cacha son visage disant qu'elle était horrible, mais Ayu ne pensait pas que c'était le cas, l'étudiante se remettait d'un coma, ce qui prend du temps et de l'énergie. Un psychologue ne tarda pas a faire son entrée et demanda à Ayu de sortir, ce dernier saisit ses béquille et sortit lentement, il ne pouvait pas aller plus vite, à cause de ses blessures dont certaines étaient profondes. Une demi-heure plus tard, le psychiatre, homme d'âge mur à l'aspect sage et compréhensif, sortit de la chambre et dit que Kakeru semblait détruite. Dans la volonté d'aider au plus son compagne, Ayu parla au médecin de ce qui s'était quelques jours plus tot.

Je pense que c'est le dîner avec nos parents respectifs qui l'a autant atteint, ou plutot mon comportement lors de ce diner. Mon pere est riche, les parents de Kakeru le sont encore plus, mais cela ne plait ni a Kakeru, ni à moi, a cause des allures que se donnent nos parents. Cependant j'ai voulu faire bonne figure afin d'avoir la paix... Je pense que c'est mon comportement qui l'a affectée ainsi, elle devait sans doute penser qu'en fait j'aimais les diners avec les personnes fortement aisées, ce qui me répugne au contraire. Pourriez vous l'aider a comprendre ce qui s'était passé ce soir là? pourriez vous la convaincre que ce que j'ai fait n'avait pour seule intention d'avoir la paix pour plus tard? j'ai voulu donner une bonne impression aux parents de Kakeru afin qu'ils nous laissent tranquille ensuite. Nous vivons sans eux et nous sommes tres bien ainsi.

lpsy observa quelques secondes ayu.il eut un tête un peu curieuse

Je pourrais pas faire ça je suis désolée, je n'ai pas le droits d'entré dans la vie des gens jusquà un certain point ,elle est trés perturber. Mais je pence que vous devez aussi lui parler.par contre je pence que nous allons la transféré en psycatrie et la mettre sous calment ses tremblement son un peu inquiétent

Kakeru sortie de la chambre et pris ayu par la manche de sa chemise rester ouverte .elle l'observa et réentra dans la chambre attendant qu'il réentre

Ayu ne put cacher son incompréhension après la réponse du médecin, mais n'insista pas. Il savait qu'il ne pourrait lui faire changer d'avis, et soignerait Kakeru comme il le pourrait. Kakeru l'appela comme elle le pu, l'attrapant par la manche de sa chemise et la tirant doucement pour qu'il revienne, mais ne l'attendit pas et retourna se coucher. Ayu vint tout de suite et s'assit sur le bord du lit de l'adolescente. Il dit alors d'une voix lente et douce:

Je peux faire quelque chose pour toi? ma puce?

kakeru pris la main de ayu et la garda sur son coeur.elle referma les yeux et se rendormi.kakeru ne s'était jamais aussi mal sentit elle ne se complaisais que dans le sommeille là ou elle pouvais oublier sans probléme tout se qui était arriver et juste dormir elle voulais oublier la vie et faire son mieux pour remonter le fausser elle ne s'était jamais sentit si mal

j'ai peur ...

Peur de quoi ?! elle ne le savais pas. peur de se retrouver seule dans cette chambre d'hôpital, peur de devenir complètement folle peur que ayu ne veuille pas rester avec une petite fille malade qui a peur de tout. kakeru avait besoin de se sentir protégée mais c'était tout sauf le cas Ayu était là mais elle ne le sentais pas

je veux rentré à la maison ayu ...

Ayu aurait fait n'importe quoi pour Kakeru, absolument tout pour qu'elle aille mieux. L'idée qu'elle aie a se rendre dans l'aile psychiatrique de l'hopital ne lui plaisait guere. La mettre au milieu des fous ne ferait que la rendre folle, ce qui n'était pas son cas. A sa demande de la faire sortir d'ici et de l'emmener à la maison, il n'hésita pas. Ayu se pencha sur Kakeru, déposa un baiser de soie sur son front puis sortit en toute hate, couru aussi vite que lui permettaient ses jambes, au bout du couloir et tapa dans l'alarme incendie, qui résonna dans tout l'hopital. Sous l'effort trop intense que subissaient ses jambes, le sang coula a nouveau de ses plaies encore refermées par les points de sutures. Il se rendit dans la chambre et prit Kakeru dans ses bras. L'étudiant grimaça et sortit aussi vite que possible de l'hopital avec Kakeru et sortit l'étudiante en direction de l'appartement, boitillant.

kakeru se laissa porter elle soupira et vit le sang

non ayu rpeose moi !!!! REPOSE MOI j'ai dit !!

elle lui tapa sur l'epaule et soupira encore une fois.

non je ne veux pas rentré comme ça... tu va te faire mal et je vais avoir des ennuis ....je vais signer une dechzrge pour sortir rapidement .. alors s'il te plais... ne te fais plus mal pour moi .. je t'en suplis si tu a mal j'en souffrirai ennormement... et je vais ... rechutter... alors rammenne moi dan sma chambre ... s'il te plais ayu ...

Ayu commença par faire la sourde oreille, mais lorsqu'elle insista il ne put faire comme précédemment. Il la posa au sol et écouta ce qu'elle avait a dire.

Comme tu veux, mais c'était la seule solution qui m'était apparue, dans ce genre de probleme je suis pas tres subtil. Je t'avais dis que je ne souffrais plus, c'est vrai. Je n'ai pas senti mes coupures se rouvrir. Si tu veux y retourner c'est ton choix, mais je ne veux pas que tu ailles à l'aile psychiatrique, si ils t'y emmenent, je t'en ferais sortir par tout les moyens, meme s'il faut que je casse un mur par la force de mes mains pour y parvenir. La décharge, c'est à moi de la signer, je suis légalement responsable de ta santé.

Kakeru fit un sourire et pris la mains de ayu. elle se serra contre lui et l'embrassa

Je sais... c'est dur... regarde moi ..je suis dans un état lamentable ... je ne peux pas sortir dehors comme ça .. m^me si j'ai horriblement envie de rentré.. si je rentre.... je ne me sens plus capable d'aller en cours... de voir des gens ... de faire tout ses diners de convenances avec mes parents tout les jeudi. de m'amuser... je ne me sens plus capable de rien....si je sors je resterais comme ça toute ma vie ... non ?

Elle fit un sourire et repartit vers sa chambre elle se tourna vers ayu et lui fit un sourire triste

Si tu ne veux pas me voir dans cet état... tu peux t'en aller... tu n'est plus obliger de revenir ... je ne t'en voudrais pas

En entendant Kakeru parler, Ayu sentit des larmes perler sur ses joues. Il déclara d'une voix posée pleine d'amour.

Ne t'inquiete pas Kakeru, je resterais avec toi coute que coute. Quant au diner, faudra que je négocie pour qu'il y en ai moins souvent, ça nous pourrit la vie plus qu'autre chose... n'énonce meme pas l'éventualité que je parte, je ne le ferais pas. Je te soutiendrais et t'aiderais à dépasser cet obstacle. Je te le jure.

maintenant laisse moi seul ayu.. j'aimerais rester seule une semaine où deux... je voudrais que tu demande à mes parents de pas venir me voir non plus je voudrais être seule maintenant ..

Kakeru partit vers sa chambre d'un air triste. Comme une âme perdu elle fit un sourire triste et entra dans la chambre d'un air perdu. elle s'assise sur la seule chaise qu'il ya avais dans la chambre. Habituellement la chaise était prés de son lit , mais là elle l'avait déplacer à côté de la fenètre pour y passer ses journée.

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