Hopital

Une jeune fille ouvre les yeux en regardant autour d'elle. Elle se trouvait dans une chambre d'hopital.
A son bras était accroché un bandage blanc gorgé de sang. Elle se redressa avec difficulté et toucha sa tete. Elle avait un énorme mal de tete. Elle portait un ensemble que tout les bléssés portait à l'hopital pour les reconnaitre.
- Ou suis-je ? réussi -t-elle a dire.
- Tu est à l'hopital comme tu le voit de tes propres yeux.
Mirato leva les yeux. La personne qui lui avait parlé était un docteur aux cheveux bruns et aux yeux dorés.
- Depuis quand suis-je ici ?
Le docteur lui répondit en fronçant les sourcils avec mécontentement.
- Un de tes voisins, ta vu, étendue sur le sol, ensenglantée ! Tu ne te souvient de rien ?
- Non ! Je ne savais meme pas pourquoi j'était ici !
- Bon ! On est mal barrés pour savoir qui ta fait sa mais bon ! Tu restera ici pendant un bon bout de temps encore !
Mirato se leva du lit en disant:
- Il est hors de question que je reste un jour de plus ! Je me sans comme neuve ! Je suis en bonne santé ! Je n'ai mal nul part !
- C'est sa ! C'est sa ! dit le médecin en rigolant.
Et il partit de la chambre en la fermant a clé.
Mirato prit un coussin qui trainait et le lança sur la porte en criant. Il était hors de question qu'elle reste une minute de plus ici. De vie ou de mort.
Elle ouvrit les fenètres et regarda en bas: elle était au 7ème étage. Une chute mortelle et elle mourrait.
Elle fit attention a ne pas tomber en posant son pieds sur la balustrade et commença a descendre petit a petit.

Aujourd’hui ne fut pas coutume, le blondinet ne s’était pas perdu. Et oui, il avait bien entreprit de mémoriser le plan avant de venir en ces lieux. L’hôpital, il n’était pas malade, il n’avait rien de grave, ce qui serait bien dommage venant à peine d’arriver. Même ci cela aurait fait la joie des belles infirmières, il n’était venu ici que pour valider ses vaccins et faire la petite routine de base. Plus vite il avait faite ça et plus vite il quitterait cet endroit, les hôpitaux il n’aimait pas trop ce genre d’endroit, c’était un lieux ou la mort semblait prendre de longue vacances et de nombreuses visites et cela il n’aimait pas.

Il entra par les grandes portes de verres et se fit accueillir en grande pompe comme-ci il était l’inviter du moment, il souria chaudement à la jeune femme et se fit même conduire jusqu’au médecin qui traînait quelque part dans les parages. Marchant d’un pas longiligne il arriva devant un homme en blouse blanche quelque peu contrarié qui semblait fermer une porte à clé suivit d’une voie féminin enragée. Ginko ne dit rien regardant simplement attends que l’homme ne l’interpelle. Il ne fallu pas longtemps mais il ne s’était pas attendu a un tel appel.

- Vous avez subit une agression ?!
- Je vous demande pardon ?
Répondu Ginko quelque peu perplexe
- Vos habits…
- Ah… non, rassurez vous, je viens seulement pour ma vaccination.
- … … veuillez me suivre…

Le jeune homme ne rajouta plus et se dirigea avec l’homme vers le bureau. Encore une tenu spéciale « Ginko », il était habillé tout en blanc, un large pantalon taille basse retenu par une large cordelette noir, des chaussures chinoise blanchâtre, une blouse ouverte sur le côté formant un dragon sage, trouvée de par en par comme-ci il revenait d’un viole et d’un gant blanc à sa main gauche. Il ne changeait pas… un véritable n’importe quoi où qu’il aille.

À la grande surprise du jeune homme il ne fallu pas longe pour tout mettre en ordre, il sortit de là rapidement, pansement à l’épaule et aux creux du bras tranquillement. Il fut tellement aider par le personnel féminin que jouer un malaise lui semblait vraiment risible mais se clama rapidement, ce n’était pas une blague à faire ici.

Ginko prit un soda et regarda par la fenêtre du 7é étages tout tranquillement quand il vu, une jeune fille du moins c’est ce qu’il cru. I les frotta un moment les yeux.

* pourtant il m’ont pas prit autant de sang que ça, je suis pas anémique*

Alors que Mirato regardait en bas pour voir comment elle avançait, elle vit un jeune homme aux cheveux blonds cendrés regardait vers elle. Alors qu'elle allait remonter a toute vitesse elle manqua un muret et commença a chuté.
* Alors c'est comme sa que je suis morte ?*

Il n’avait pas rêvé !

- Hé !!! hurla t-il

Cette jeune fille semblait ne pas être consciente toute à fait de ce qu’il pouvait bien se passer. Pourtant tout ceci était bien réelle, le jeune homme se tenait à mit couper entre la fenêtre et le vide tout en la retenant d’une main. Il était fort, mais le poids d’un corps dans le vide, était quelque chose de franchement lourd quand même. C’était toute une expérience !

Ginko serra des dents, serrant aussi fortement la main de la fillette, il se cramponnait à l’encadrement de la fenêtre avec une telle rage que celle-ci semblait bien lui rendre, ses doigts se mit à rougirent et a rougirent encore plus devenant pourpres et finirent pas saigner. C’était douloureux mais savoir qu’il pourrait lâcher cette fille et la voir se fracasser sur le sol par se faute serait une douleur bien pire encore.

Ces dans une sorte de râlement et dans une force tonnante qui se redressa avec vigueur et la projeta vers lui, l’entraînement dans un élan surprenant et finissant sa chute le dos à terre dans le couloir en sécurité. Bien entendu ce remue-ménage attira attention de bon nombre de personnes ainsi que le médecin.

Ginko quand à lui, était allonger sur le sol, les yeux fermés et tenait la demoiselle contre lui, il respirait avec forte, sans dire ce petite exercice lui avait demandé pas mal d’effort de sa part. sur un ton saccader et un peu moqueur il parla à la demoiselle.

- on va a jamais…. dit ….que les porte… étaient… plus facile d’accès….

Sa main lui lançait quelque peu mais bon, il l’avait sauver et ça c’était le plus important. Même si le médecin semblait piquer une belle colère.

Mirato se sentit tout à coup planant dans les airs.
* Est-ce-que je vole ? Non c'est impossible ! A moi que je soit morte !*
Mirato ouvrit soudain les yeux et vit un jeune homme aux cheveux blonds et aux yeux dorés.
- Je suis morte ! Je suis au paradis entourée d'ange et de chérubins !
Mirato et le jeune homme attérirent soudain dans les couloirs ou les inférmières et le docteur étaient en émoient:
- Mais que c'est t-il donc passé ici ? Qu'elle qu'un c'est bléssé ?

- on va a jamais…. dit ….que les porte… étaient… plus facile d’accès….
Alors que Mirato allait lui répondre, elle remarqua sa main ensanglantée.
- V....vous etes bléssé ! J....je suis désolé ! VOUS AUREZ DU ME LAISSER !

Ginko respirait brillamment, quelques minutes et il allait revenir à l’état normale, mais deux secondes s’il vous plait, il ne s’était clairement pas préparer à ce genre de situation venant au japon. Il savait bien que les suicides étaient fortement répandus là-bas, mais tout de même… aussi vite. Il ne prit même pas la peine de répondre aux infirmières et au médecin qui paniquaient tous, la cavalerie toujours en retard…c’était bien connu. La jeune fille dit une chose si vite que même la réaction du blond fut si rapide que son cerveau n’avait pas eut le temps d’arrêter son geste. Il la gifla si fort, sans rire il avait encore pas mal de force mais il ne pouvait tolérer une telle connerie. Il se releva et la regarda placidement, ses yeux bleus auraient presque eut la froideur d’un temps d’orage.

- oui, j’aurais du.

C’était sans doute, cruel de sa pare. Mais il n’avait jamais pu supporter ce genre de paroles venant des gens. Cela le dégoûtait clairement, mais il prit ça sur le compte de l’émotion et serra sa main dans le creux de sa manche et en pressant le sang.

- Si j’aurais fait cela comme vous dite, mais nuits n’auraient plus jamais été pareilles.

Il regarda le couloir cherchant des yeux sa boisson et se demandait bien où avait- elle peut rouler dan l’action. Quand il l’aperçu il la récupéra à la place en poche, une femme sans doute très têtue ne cessait de lui demander sa main pour le soigner, mais ce n’était rien, il s’était juste couper avec la fenêtre rien de bien dramatique.

- Devriez plutôt, l’aider elle non ?

Voyant que personne semblaient leur foutre la paix, l’impatiente de l’homme se perdit rapidement et prit la jeune fille qui se tenait encore à terre et la souleva , la prenant dans ses bras et l’emmena avec lui dans une chambre vide, il prit n’importe laquelle. Il s’en foutait, et la coucha doucement dans le lit, comme ci il couchait une fleure. Puis s’assit sur celui-ci et se laissa examiner, pendant que tous deux se firent observer.

- Comment vous appelez vous ? Pour ma part je suis Ginko Wanari, en chanter de vous avoir « sauver ».

Le jeune homme la giffla soudain telement fort que sa joue fut rouge comme une tomate.
Elle frotta sa joue, étonné que cet homme qu'elle ne connaissait meme pas venait de la gifler.
Remarquant soudain qu'elle avait sauté de la fenètre sur le point de faire une fugue et manquant de mourir, elle rougit comme une pivoine ^^.
Il l'ammena ensuite dans une chambre vide ou il la posa sur un lit blanc et lui dit en s'assayant sur une chaise:
- Comment vous appelez vous ? Pour ma part je suis Ginko Wanari, en chanter de vous avoir « sauver ».
Mirato rougit et dit:
- J.....je vous prit de m'escussez ! J....je ne savais pasce que je faisait ! C'est juste que je ne voulais pas rester ici car je n'avais rien de grave c'est tout !

L’homme ne regarda pas la jeune fille, il laissa se faire soigner la main, d’une certaine façon il était assez content que se soit la main droite et non la gauche qui avait trinqué. Quand se fut fini, il visionna sa main et la serra comme pour s’assurer que tout allait bien et se fut le cas.
Il avait dit son nom, s’était présenter mais ne reçu que des excuses.
Ginko regarda la jeune fille enfin et lui toucha la joue, qui était encore chaude et rougie. Il n’avait pas été de main morte.


- c’est à moi de m’excuser, je me suis lasser emporter. Désolé pour votre joue…

Il sortit, sa canette encore bien froide et lui donna.

- Ce n’est pas grand-chose, mais si ça peut vous consoler un peu. Car même si vous n’avez rien de grave, réagir ainsi et vous causer plus de tore…ce n’est pas bien malin.

Le jeune homme retira les quelques pansements qu’il avait de ses examens et les jetas d’un lancer habile dans la poubelle. Il en profita pour ranger ses bon vaccins dans son porte feuille avec son passe port et sa visa d’autorisation étrangère.

-Et vous n’avez pas de prénom ? Ou je dois vous appelez m’azelle ?

Une fois que l'infermière soigna la main droite du jeune homme, celui-ci lui toucha la joue en disant:
- c’est à moi de m’excuser, je me suis lasser emporter. Désolé pour votre joue…
Mirato rougit encore plus et dit en bougeant les mains dans tout les sens :
- Q....quoi ! N.....non ! C.....c'est plutot a moi de mescuser ! C'est a cause d....de moi que vous vous aites fait mal à la main ! J.....je suis désolé ! J....je norai pas du faire sa ! J.....je m'escuse !
Soudain, le jeune homme sourit et lui donna sa cannette en disant:
Ce n’est pas grand-chose, mais si ça peut vous consoler un peu. Car même si vous n’avez rien de grave, réagir ainsi et vous causer plus de tore…ce n’est pas bien malin.
- N....non je ne peut pas accepter ! V.....vous estes trop gentil avec moi !
Et vous n’avez pas de prénom ? Ou je dois vous appelez m’azelle ?
- E.....ESCUSEZ moi je ne me suis pas présenter ! Je m'appelle Mirato Daiko !!!!!!!
Mirato regarda de plus près le jeune homme: il avait des cheveux longs, blonds comme les blés, des yeux bleus turquoise ( j'adoooore cette couleur ^^) et portait des vetements un peu trop.....hosé XD
Le jeune homme voyant que Mirato le regarda fixement, celle-ci rougit en disant:
-N.....non ! C....ce n'est pas ce que vous croyer ! N....ne vous inquitté pas :3: !
* Ouf ! J'ai eu chaud !*

Ginko, lui mit la canette dans la main l’obligent à la prendre. Elle en avait sans doute plus besoin que lui, elle avait eut un choc, elle avait vu la mort de près pas vraiment son cas à lui. Il restait là, tranquille bien sur il savait qu’il ne pourrait sortir aussi vite après autant de frayeur, pas pour lui, mais les médecins avaient un devoir et s’y tenait. Et personne ne voudraient que ces deux là ne sortant avant quelques petites heures, alors il du se résigner quand le cris de la jeune fille le fit revenir à la réalité, elle avait dit fort et haut son prénom comme ci il s’agissait d’une présentation scolaire. Le blondinet souriait en coin sans rien dire, puis vu qu’elle ne cessait de le reluquer.

- … …

Il avait l’habitude, sans rire il était mannequin la nuit dans son pays, et depuis qu’il avait mit un pied ici, on avait cessé de le reluquer. Sans doute le temps allait il faire qu’a force plus personne n’allait le remarquer. Puis la jeune fille se mit à déblatérer toutes sortes de paroles bien rapides en rougissant quand elle cru se sortit d’affaire, Ginko souria.

- Je n’ai absolument rien dit. Pensez ce que vous voulez après tout.

Il se mit à jouer avec une petite boite en argent brillante, elle contenait ses cigarettes, il se doutait clairement que temps qu’il était à l’intérieur il ne pouvait s’en fumer une. Il regarda l’heure accrocher au mur, et oui, il n’avait pas de portable. Pas parce qu’il n’était pas à la mode, simplement parce que c’était comme ses vêtements, aller savoir où il avait bien pu le balancer celui- là.

- Dans quelques petites heures, ils nous laisseront partir. Vous avez des projets miss Daiko ?

Drague ou pas ? allez savoir parfois ce qu’il a dans sa petite tête.

* Je me demande si il est mannequin ! ? Peut etre que je lui dirai une fois que nous nous connaitrons un peu plus ! Je ne serai pas étonnée qu'il me réponde oui !*
Mirato pensa qu'il était très sympathique pour qu'il l'ai sauvé comme sa. Presque personne, n'agirai inci ! Certains la laisserais meme mourir, écrasée sur le sol et accuserai quelqu'un d'autre !
Des larmes commencçèrent a perlés sur ses joues. Elle les essuya vite fait car elle ne voulait pas que Wanari la voye pleurer inci.
Une fois qu'elle eu fini de gesticuler dans tout les sens en rougissant, le jeune homme lui mit la canette de soda dans la main et lui dit:
- Je n’ai absolument rien dit. Pensez ce que vous voulez après tout.
Mirato haussa les épaules et buva une gorgée de coca.Elle n'amait pas telement cette boisson mais comme c'était ci gentiment proposé, pourquoi pas accepter.
Une fois qu'elle eut fini la cannette, elle la jeta a la poubelle et reporta son attention sur le jeune homme.
Celui-ci était en train de regarder la pendule accrochée au dessus du lit. Une fois qu'il eut fini de la regarder, il répondit en souriant:
- Dans quelques petites heures, ils nous laisseront partir. Vous avez des projets miss Daiko ?
Mirato fit soudain quelque chose qui fit sursauter Wanari.
Elle sauta hors du lit en criant :
- OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII ! ENFINNNNNNNNNNNNNN !

« Oui enfin ! »

Ginko resta interloqué. Il attendait quelques explications venant de la demoiselle. Décidemment elle était bizarre cette petite, mais pas moins charmante.

- dite moi, ce qui vous ferait plaisir alors.
Ce qu’il allait dire, aurait rendu dingue bons nombres de femmes qu’il connaissait. Ce genre de chose il le disait rarement, mais quand il le disait il le faisait jusqu’au bout. Quoi que l’ont demande bien entendu, il gardait en tête d’une certaine moral, n’exagérons pas.

- Je suis vote obliger, dite moi et je ferias tous ce qu’il vous plait jusque 20h.

Ca c’était du lux, pour certaine femmes et hommes. Jusque 20h, ça laissait du temps, car après il devait rentrer, il ne pouvait pas rester trop longtemps dehors, puis le douce penser de dormir au lycée Todaï une première nuit serait une belle expérience. Il se demandait si il arriverait à dormir, i lavait déjà fait une rencontre pas moins étonnante et celle-ci n’en était qu’au début, qu’allait il donc arriver là-bas entourer de tous…

- alors dite moi donc, que voulez vous faire en dehors de ses 4 murs ?

Le jeune homme-mannequin lui dit en souriant d'un sourire charmeur tout en ébourrifant ses cheveux blonds:
- dite moi, ce qui vous ferait plaisir alors.
- Comme vous voulez ! Peut etre faire un petit tour au restaurant ? Je meurt de faim !
A ses mots, son ventre se mit a gargouiller.
- Ahhhhh ! NOOOON ! J'ai trooo honte !
Et elle éclata de rire.
Le jeune homme lui demanda ce qu'elle faisait ici. Mirato lui répondit pour toutes réponse qu'un sanglot étouffant:
- Je ne sais rien ! Je sais juste qu'un de les voisins, ma vue ensanglantée et ma ammené ici !

Ginko se leva.

- Pas besoin de vous mettre dans un tel état, je ne suis pas de la police.

Il marcha quelques pas. Il n’allait pas continuer la conversation, si cela faisait du mal à cette drôle de fillette pourquoi continuer. Il ouvrir la porte de la chambre et jeter un œil dans les couloirs une infirmière le regarde d’abord, sombrement comme pour dire « non attendez encore ! » le blond jeta un œil à Mirato, et lui fit un geste : de l’attendre là deux secondes.

- Je revins, évitez de sauter par la fenêtre cette fois.
Ginko voulait sortir et il allait sortir !
Le jeune homme se dirigea vers la jeune femme qui directement commençait déjà à se méfie de lui et il marchaient tout deux allant dans le bureau. 5 min plus tard, 5 pas plus, plus moins, le blondinet revenu un papier à la main devant la demoiselle.

- Voila, j’ai notre autorisation de sortie. Venez.

Il attendit qu’elle descende du lit puis sortit de l’hôpital enfin ! Lui qui n’était venu que pour de simple examen de routine. Quelques pas or de complexe médical, il sortit sa petit boite en argent et l’ouvrit d’un geste. Et prit une cigarette et un briquet bien étrange, totalement graver représentant un dieu ancien venant de son pays à la flammèche verdâtre.

- enfin… :19: * il prit une bouffée*