The Kenji's Lead!

Nom: Shawn

Prénom: Hugo

Age: 21

Sexualité:Hétéro

Nationalité: Française

Métier :Leader a temps plein.

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Description physique: (5 lignes minimum)

Caractère: La jeunesse d'aujourd'hui elle est trop conne et fan de longues battes, on se braque, on se bat, les mômes se prennent pour Ong Back. Méfie-toi des condés si t'es pas blanc comme un maillot de tennis, le temps est compté maintenant Sarko joue les marionnettistes. Mario, Tetris, tout ça c'est loin maintenant c'est Liberty City , on s'y croirait presque ici, je suis dans mon monde réveille moi vite si je tire. Et toi dis moi qu'est-ce que je ferais si j'ai des guns. J'attends le moment où je dirais "Ah j'étais con quand j'étais jeune".

En attendant j'écris ce que je pense, j'arrêterais le rap quand j'aurai plus de textes, de plus j'ai du mal à monter haut mal grès mes bulles d'air. Pas de budget, mon but c'est de mettre fin à tous les débats, car les poulets débarquent toujours après une bonne tournée des bars.C'est la débâcle, les flics tirent partout l'envie de crime , l'amour se résume à des nibards en vitrine. Envie de dire, que tout va bien et que j'ai pas de maux de tête, mais tous les mômes regardent la haine et pas les Razmokets.

Mais où est la porte exit ? Ici il y a la tune qu'exite, il faut qu'on se barre en éxile sous le soleil du Mexique. Ecoute pas ce que Pasqua dit, ne dis rien si tu n'sais pas quoi dire, mais sache que la galère ça fait grandir comme les sports aquatiques. Regarde la 'zik milieu vicieux faut sortir de ce cercle, depuis que j'ai 5 ans le top 50 c'est un film de sexe. Un clip d'Usher, c'est déprimant comme Thalassa. Moi, je rappe pour m'exprimer pas pour qu'on me dise: "C'est toi la star"

Encore un son magique anti-condés, t'inquiètes ils sont massifs. Quand la bombe de peinture devient une arme de destruction massive. Nous on veut pas d'nos sons aux Galerie Lafayette, j'ai quelques plans s'il le fallait pour gravir la falaise. Anti-CRS, la répression j'veux qu'elle cesse, ici c'est TSR, les enculeurs de SS. Encore un bête de beat à basses, je sors la nuit comme un pyjama. Parsème des rimes et puis j'amasse, on pèsera lourd comme Big Mama

Un monde de psychopathes, je suis tout pâle va dire au psy qu'on part. Regarde bien mes compères rien ne les éclairent à part les gyrophares. On porte des émetteurs. Sors ta carte d'électeur si tu veux jouer jusqu'à la fin du film. Beaucoup m'ont dit: "La FAC t'aurais du d'y mettre", mais les nouvelles sont mauvaises comme les notes du trimestre. Perquise dans les apparts, c'est des rapace, les porcs quadrillent la porte, ca c'est quand les rafales ne sont pas prévues même par Catherine Laborde. J'ai pas de bol j'ai attéris dans un monde de patte folle et c'est stressant comme un joint dans la paume alors que t'as pas de feuille.

Même si t'es fort tu peux te faire soulever par dix mecs, donc reste actif mec ça protège pas de boire du actimel. A dire vrai, donner la mort devient un jeu de minot, moi je sais qu'on veut m'avoir mais je suit ma voie comme un vrai cheminot. Je pige plus, il y a des reu-frès qui se traitent de fils de pute, moi je vise le but je veux être prioritaire comme dans une file de bus (5 lignes minimum)

Histoire: Vécu paranormal paranoïaque a temps plein
Je compte pas sur le pe-ra pour me propulser comme un tremplin
J'veux etre en pinces pas en chien dans ma ville qui ressemble a Bogota
Ici pas de beaux costards, le feu se repend plus vite que les faux coste-La
Full contact ou scout combat, je sens plus ma fatigue
On vit sous influence des DVDs d'Ultimate fighting
Trop de putes comme Paris Hilton et trop de papas déçus
Elle sait rien faire à part cer-su ya que le train qu'est pas passé dessus
Toujours la même grâce au sum on joue les astronautes
L'avenir ca pue la merde et pour le savoir pas besoin d'être astrologue
Pas de bolosses chez nous que du gros, nous on fait pas d'prologues
Le rap d'Hugo déchire la tête comme la vodka de Pologne
Meme parmis mes acolytes, trop d'alcooliques
Si la jeunnesse est impolie c'est qu'elle fréquente trop la police
Ici c'est Paris Nord 7.5.0.18 sur mon dossard
J'veux tout niqué avant que Sarkozy confie le monde aux chtars

Dans le 18ème, comme ici, j'y suis arrivé par erreur
Mais je représente mon quartier, ma zone : Paris Nord
Et si ça te deplait cesses tes balivernes
Ce que j'vois ces trop de morts, trop de monde qui passeront pas l'hiver
Tu parles de paix ? pour qui pour nos freres
Mon cul passes ici on te frappe et notre misere : sorte de camisole
Et je me sens seul donc je mentoure de TSR
Pour un son qui baise toute censure
Mais merde ! Regardez ce que mon quartier suscite
C'est des carottes dans le vice et beaucoup trop de cas de suicides
En gros pour nous pas de surprises
Quand les jeunes s'en prennent aux forces de l'ordre
Personne s'etonne mais des mômes passent des rées-soi à boire
Et se font contrôler par des chtars sortis des bars
Je déballe mon plaidoyer
Car je veux ti-par mais je sais pas comment payer le loyer

La rue me parle, m'envoie des signes qui ne trompent pas
Elle me reppelle sans cesse la merde dans laquelle je suis trempé
Dans cette vie t'as que deux choix pour un jour être OP
C'est soit tu deviens tron-pa soit tu braques au risque de te faire choper
A ceux qui ont reussi je peux leur tirer mon chapeau
Moi dans mes recits je tente toujours d'y echapper
Je veux rien de precis je suis pas sur que mon choix paie
Je veux pas mourir ici alors foutez moi la paix
Je veux pas faire mon choix, d'facon y a rien qui me plait
A part le R.A.P mais ça ça paie pas le loyer
Sauf si t'es un mec qu'on peut voir chez Laurent Boyer
Et qui suffit de siffler une fois pour le faire aboyer
Là je viens balancer bien cadancer mon plaidoyer
Denoncer sans renoncer a tout ce qui me saoule de cotoyer
J'suis pas un citoyen je pense toujours qu'à tailler
Malgres le peu de moyen je vais pas encore m'appitoyer

C'est le TSR Crew tout les soirs on baise la boite a rythme
Parler de nos bâtiments je sais meme plus a quoi ca rime ?
Pour rimer y a pas d'horaires tu peux tellephoner au Raid
La nouvelle mode c'est feuille et marocain sur les oreilles

J'inspire, fume, m'inspire de mon pilon
Aspire a percer dans le pe-ra meme sans piston
Et fiston tout va mal depuis qu'on nous laisse sur le banc de touche
Et que dans le tier-quar le vice tourne
Pour nous aucune ristourne que des rêves ternes
On reve d'etre grand pour ça vers le sheitan on s'en retourne
Dans une vie sans retour sans repos
Car on veut pas de leur routine, leur vit de robot
Mais ce monde est rude et notre rue nous colle à la peau
Comme le virus d'un seropo
Notre vie n'est pas un jeu de rôle
Dans nos cimetières trop de mômes qui reposent
Mais bon ici Marianne n'a pas d'amour
Donc au lieu de ça roucoules
Les ados racailles vont en cours, avec une arme dans le cartable
Et au lieu de La Sorbone font leurs armes au card-pla

Dans le 18ème y a pas de barbapapas, ici les petits mattent pas Babar
Climat barbare, enfiles ton pare-balle si t'entends pa-pa-pa
Ici la vie est faite de galères et de chattes, les galériens chialent
Devant mon sampleur je veux égaler Ray Charles
L'amour c'est rare comme voir la Tour Eiffel sans Japonais
J'ai harponé, ma ville est belle mais y a des vers dans chaque pommier
Pas de Cendrillons de toute façon il est déja Minuit Dix
J'écoute pas ce que les minus disent je préfère mes vieux mini disc
Tout le monde rotte-ca même le que-grè sert des plats toxiques
Dans le business y a plus de pigeons que sur la place Torcy
A cette heure-ci je m'en bas les couilles d'avoir un beau Lacoste
Dans ma trousse de survie : un joint et un petit flash de Poliakov
Je serai pas millitaire je compte pas ce que m'a pris le teuteu
Pas besoin d'ouvrir son frigidaire pour goûter les Caprices de Dieu
A Paris on est tous partisans du moindre effort
C'est TSR : des jeunes trop peu connus mais néamoins tres forts

Et ouais c'est le TSR toujours aussi insatiable
Trop souvent insociable mais grace au ciel
Encore en vie et ca c'est l'essentiel
La musique m'ensorcelle j'attenderai pas l'assenceur
Pour monter dire aux censeurs que depuis toujorus en s'en sort seuls
Et ca des lès 18ème jusqu'a Vitry et Garges-Sarcelles
Ici je voit trop de querelles et des fois ça se bat dans les ruelles
Pour une petite parcelle de Macadam, j'en ai marre de Paname
J'enmerde cette ville je construirai seul ma cabane
Je veux técal d'ici un jour j'irai à la montage
Prendre des cours de Muay Thaï pour l'instant je prends mon time
J'attends seulement que la maille tombe pour bouffer comme la Maïté
Peu connaissent la gaité mais je dirais pas que c'est le ghetto
On est quand meme gatés on trouve partout des spaghettis
Y a plus aucune pitié et meme chez les tous petis
Car plus on dame et plus on a ce putain d'apetit