Nom: Alesta
Prénom: Vito
Age: 16 ans
Sexualité: Bisexuel, avec une légère préférence pour les hommes.
Nationalité: Italien
Lycée demandé: Celui que vous voulez ! °0°
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Description physique: Haut de son mètre 78, Vito a naturellement une ossature fine ainsi qu'un teint pâle, ce qui est assez étrange alors qu'il est originaire de Sicile. Normalement, il devrait être un minimum bronzé, ne serait-ce qu'héréditairement, mais non, son grain de peau est blanc comme la neige, cadeau de sa mère semblait-il. Il a bien essayé de prendre un bain de soleil, mais au lieu de bronzer, il a littéralement cramé, et ça lui a amplement suffit. Cette ossature est recouverte d'une fine musculature, confirmant sa bonne santé physique.
Son visage est fin, surplombé par une chevelure presque indomptable - habituellement châtain - colorée en violet, mais ses sourcils souvent froncés lui donnent un air contrarié dans n'importe quelle situation. Il porte des lentilles violettes, sous lesquelles se trouvent des iris bruns. Ses yeux sont maquillés d'eye-liner et de crayon, ainsi que du far à paupière violet (on s'en serait douté). Petite particularité à l'œil gauche, une « goutte » noire est dessinée, accentuant un look assez original pour l'italien. Ses lèvres sont également colorées de la même couleur que le sont ses yeux.
Il possède plusieurs piercings : Deux à l'oreille droite, et un à l'oreille gauche relié par une chaine à celui de la lèvre inférieure (toujours à gauche). Il en possède aussi un à l'arcade sourcilière gauche.
Au niveau de son style vestimentaire, il n'en a pas vraiment. On pourrait croire que c'est une espèce de punk via ses vestes de cuir, ses jeans sombres un tant-inné déchiquetés aux genoux et ses chaines. Sans oublier ses débardeurs trop grands d'une taille aux signes trashs et provocateurs. Mis à par ça, il porte aussi une combinaison lorsqu'il part faire ses courses folles en moto, combinaison noire aux épaules et lignes épaisses....je vous laisse deviner la couleur...Oui, violettes !
Caractère: Vito est ce qu'il est, un jeune homme en pleine adolescence, répondant aux adultes parfois vraiment méchamment, mais que voulez-vous, ce sont les hormones qui travaillent. Assez turbulent, impulsif et surtout très actif, il réussit toujours à se mettre dans les pires situations, des loufoques aux dangereuses, et ce sans même qu'il sen rende compte. Il aime bouger, s'amuser, faire la fête quoi ! Mais il n'aime pas particulièrement qu'on le taquine un peu trop, qu'on le contre-dise ou qu'on l'ignore, dans ces cas là son ego ne le supporte pas, et il finit presque toujours par se battre. ( qui a dit qu'il est susceptible ? )
C'est ce qu'on peut appeler un aventurier, ou casse-cou pour faire plus simple. Il aime la montée d'adrénaline, ce qui explique pourquoi il se lance des défis de motos avec ses amis, tels que sauter au dessus de tant de voiture, passer tant de feux rouges sans se faire renverser, etc. S'il est bien doué en une chose, c'est dans la conduite de moto. Traduction : il ne perd que très rarement ses défis. Il se bat aussi, logique. Il provoque de temps en temps lorsqu'il s'ennuie trop, voulant juste rajouter du piment dans sa vie déjà mouvementée et se tester. Et quand on le provoque...et bien, vous connaissez la chanson...
Malgré son air bourru, il peut se montrer digne des parfaits gentlemans avec les personnes qu'il juge dignes de cela. C'est à dire pas des masses. Il est toute de même attentionné, aimant et généreux avec les personnes les plus proches à son cœur. Naïf ou trop optimiste, à voir. Dire qu'il est idiot serait mentir. Il a un cerveau, et il sait l'utiliser ! ... Quand ça l'arrange. Il est aussi souvent à l'écoute des autres, quand ils osent s'approcher de lui pour lui parler.
En fait, il a un bon fond. Il ne supporte pas de voir quelqu'un dans l'embarras, voir même pleurer. Il fait donc tout son possible pour être utile, même maladroitement (99% de chances qu'il fasse une énorme gaffe en essayant de remonter le moral de quelqu'un, c'est dire.) quitte à s'humilier un peu ou se faire passer pour le dernier des crétins. Ce qu'il est aussi dans les cas où on lui déballe de longue tirades. Il a une attention qui s'enfuit vite si on tarde trop pour agir, alors il parlera d'autre chose, trouvera un quelconque intérêt à quelque chose qui en est dénudé, ou partira en baillant, les mains derrière la tête.
Éternel gaffeur, il a tout de même réussit à mettre le feu à la maison familiale avec un simple mégot de cigarette.
Histoire: Né dans une famille au revenu plus que convenable, Vito eut une enfance assez heureuse. Fils unique, il fut chouchouté par la grande partie de la famille, étant un « petit ange », toujours sage et obéissant. Particulièrement curieux, il fouinait un peu partout, dans les placards des ses parents. Mauvaise idée, car il trouva vite des menottes à froufrous rose bonbon, des préservatifs à la fraise dont la taille était plus qu'admirable, et plusieurs autres sex-toys aussi différents qu'étranges. Il amena alors le tiroir sous le nez de sa mère, une bouille d'ange plaquée au visage, et demanda à quoi servaient ces objets, et pourquoi elle et son père les cachaient dans le placard de la table de chevet. Alors, sa maman adorée prit une jolie teinte écarlate, bredouilla quelques paroles incompréhensibles pour l'enfant de cinq ans qui se trouvait devant elle, accentuant toujours plus la curiosité du petit italien. Au même moment, le père entra dans la salle et vit avec surprise son fils les mains pleines de ses objets...personnels. Piquant lui aussi un far, il prit des mains le tiroir et alla le cacher ailleurs. Vito ne trouva jamais la cachette. Il faut dire qu'il n'avait plus eut l'occasion de chercher, ses parents lui ayant passé un énorme savon qui le dégouta assez, je dois l'avouer.
A l'école, il eut plusieurs amis qui lui apprirent comment se battre plus ou moins férocement, à insulter de la pire façon, et surtout à être un goute-à-tout, et ce malgré qu'il fréquente une école privée. Éternel gaffeur ou bien la malchance avait désigné son favori, toujours est-il qu'il s'attirait les pires ennuis, revenant chez lui recouvert de bleus et ses vêtement délabrés. Ses géniteurs étaient surpris de la tournure que prenait leur fils, lui qui était si doux et si mignon. Les maîtres d'école se plaignaient certes rarement de lui, il était quand même un minimum attentif et sérieux, mais lorsqu'ils en vinrent à convoquer ses parents pour une bagarre générale dans la cour de récréation, la présumée bonne image qu'ils avaient de leur fils s'effrita encore.
Arrivé à ses neuf ans, il eut droit à sa première cigarette dans ne petite bande d'amis. Lesdits amis principalement plus vieux que lui de deux ou trois ans, formant plus un micro-gang qu'autre chose devant le collège. Choquant pour son âge, je vous l'accorde, mais lui se fichait du regard des autres. Il s'habitua vite à ce nouveau met, fumant en cachette lorsque ses parents travaillaient.
Arrivé au collège, son caractère impulsif et un peu bagarreur ne fit que s'accentuer, lui permettant d'obtenir une réputation de brute, ce qui lui offrait le luxe du calme pour la plupart du temps, sauf bien sur quand on venait lui chercher des crosses, chose fréquente au début, puis de plus en plus rare. Il ne se faisait remarquer qu'auprès des 6èmes et 5èmes, les autre étant trop imbus d'eux-même pour s'intéresser aux autres. Mais un jours, lors de l'année de ses 12 ans, Vito fumait tranquillement dans son salon, les vitres grandes ouvertes pour faire circuler l'air de la pièce. Il entendit alors un moteur de voiture qu'il reconnut comme étant celle de sa mère. Il écarquilla les yeux de stupeur, elle n'était pas sensée rentrer avant tard le soir. Le temps de cette bref pensée, la porte d'entrée, à coté du salon, s'ouvrit sur la génitrice de l'adolescent. Adolescent qui jeta son mégot, ou plutôt laissa tomber son mégot parterre. Ils se regardèrent fixement. L'un qui ne s'attendait pas à voir sa mère, l'autre découvrant une nouvelle face de son fils. Le temps passa, une étrange odeur s'élevant, et il faisait soudain plus chaud. Vito posa son regard au sol, pour voir un tapis qui s'enflammait à une vitesse hallucinante. Le temps de sortir de la maison, d'appeler les pompier, de calmer sa mère, que les pompiers arrivent et qu'ils éteignent l'incendie, la maison était en cendre. Ses parents, après ce drame, décidèrent de l'envoyer dans une maison de redressement, ce qui le vexa assez.
Son ego touché assez profondément, il décida de ne plus travailler dans les cours qui lui étaient donné, dormant souvent en classe, sinon il séchait. Durant 3 ans, il eut ce comportement plus qu'insolent, et se mit à trainer avec les « pires » de la maison. Ils eurent une assez mauvaise, voir très mauvaise influence sur le jeune garçon qu'il était, alors, souvent, il sortit en douce la nuit, ou bien séchait une journée entière, rejoignant sa petite bande Avec eux, il se découvrit une passion pour les sensations fortes, telles que les courses de moto ou les défis stupides et dangereux. Et bien sur, il apprit à être un vrai homme, se faisant dépuceler par une adolescente de 16 ans peu recommandable. Mais il n'en perdit pas un bon fond qu'il cachait vigoureusement, là-bas régnait la loi du plus fort, donc il préférait assurer sa survie.
Au terme de ces trois années de mauvaise conduite et plans foireux, il fut finalement libéré de cette maison de redressement. Mais il gardait encore rancune vis-à-vis de ses parents, alors il s'enfuit en moto loin, très loin. Durant son petit exil, il se lia d'amitié avec un jeune homme habitant dans une caravane. Durant une année entière, il cohabitèrent ensemble, finissant par « sortir ensemble ». Enfin, sortir, c'est un bien grand mot. Enfermez deux jeunes hommes dans une caravane pendant un an, et vous avez une chance sur deux de les trouver en train de libérer leur pulsion purement masculine. Donc il n'était pas question de sentiments, mais juste de se lâcher un peu de temps en temps, ou du moins dans le cas de Vito.
Mais quelque chose gênait l'italien. Son avenir. Certes, il avait pris depuis longtemps l'habitude de vivre au jour-le jour, mais il faut parfois être réaliste. Son ego refit son apparition, jugeant inacceptable que son hôte finisse comme un clochard, un S.D.F ou qu'il ait un emplois miteux. S'est ainsi que la reprise en main de Vito débuta. En premier lieu, il recontacta ses parents. Se fut plus dur qu'il ne l'aurait pensé, eux même n'avaient pas apprécié le comportement de leur fils malgré tous les sentiments qu'ils lui portaient. Après des heures et des heures d'acharnement, ils réussirent à trouver un terrain d'entente: s'il cessait comme un délinquant têtu, ils songeraient à l'inscrire dans un bon établissement. Une semaine après, Vito était de retour chez lui, sans pour autant avoir de grand espoir pour son futur lycée. Son dossier scolaire, assez bon au niveau des résultats mais définitivement mauvais pour le comportement (surtout durant les trois ans en maison de redressement), lui bloquerait certainement l'accès à certaines écoles, italiennes ou internationales. Pourtant, ses parents tentèrent quand même le coup en contactant cinq lycées : deux italiens ( où Vito fut tout bonnement refusé ) et trois japonais dont il ne restait plus qu'à attendre la réponse...
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