l'amnésie peut faire mal

Usagi avait passé un bon mois à l'hôpital, sa blessure étant plus grave qu'on ne le pensait, les médecins l'avait gardé en surveillance. Sharaku lui avait rendu plusieurs fois visites malgré son "coma" et à son réveil, il fut le premier a venir la voir, pourtant quand il entra dans la pièce, ce n'était pas Usagi qu'il voyait. Celle-ci avait perdu la mémoire et ne se souvenait que de sa descente du train. Le brun avait alors abandonné l'idée de lui raconter tout ce qu'il s'était passé. Il s'était résigné à l'oublier malgré ce "baiser" plus qu'imprévu qui trônait dans son esprit depuis cet accident.

Usagi était parti en quête de vêtements puisque comme elle l'avait dit un mois plus tôt, elle n'avait pas emporter sa garde-robe. la brune visita plusieurs des nombreux magasins de vêtements qui lui était permit de découvrir, lorsqu'une petite boutique attira son attention. un magasin assez simple à vrai dire mais l'ambiance qui en réchappait était à la fois lugubre et accueillante.

la jeune fille se mit a fouiller chaque étendue des jeans, jupes et chemises qui pourraient l'intéressait. Elle remarqua alors une petite robe noire surplomber de joli rubans mauve sur le haut et le bas de l'étoffe. la brune n'avait pas l'habitude de mettre ce genre de fringue mais quelques fois, une irrésistible envie la prend, cette fois-ci elle prit le vêtement et partit l'essayer. elle tomba aussi su un bustier de ses couleurs et à sa taille qu'elle couru pour s'en emparer avant que quelqu'un d'autre ne le fasse. elle se dévêtit et déposa sur le haut de la porte son soutien-gorge trop petit et ses autres affaires.

L'étudiant s'était rendu dans cette même boutique pour remplacer ce baggy complétement fichu. il passa devant les cabines d'essayage et aperçut sur l'une des portes l'objet de son désire, celui-qui l'avait menait là à cause de divers raison. il savait que c'était lui, sa dentelle de rose noires sur une feinte de soie blanche et duveteuse. Oui c'était bien lui, et elle était là, derrière cette porte de chêne surement mal verrouillé.

Usagi sortit de sa cabine dans l'espoir d'admirer ses futurs achats sur elle, lorsqu'en ouvrant elle eu un choc imprévu avec le torse chaud et bien formé de ce garçon. Elle ne le connaissait pas pourtant, ce sourire lui sembler familier et ses yeux sombre aussi.

*tout ses souvenirs avec moi ont disparu, je vais presque le regretter je pense, même si ce ne fut qu'une journée.*

Un bon mois s'était ecoulé depuis l'accident au parc. Usagi avait perdu une partie de sa memoire suite au choc et ne se souvenait plus de lui. Sharaku avait tenter pourtant a de nombreuses reprises de lui raconter cette journée mais rien n'y faisait, elle n'arrivait pas a retrouver ce fragment perdu de sa memoire. Devant cet echec, le jeune homme avait laissé tomber et avait laissé cette histoire de coté mais il n'arrivait pas a oublier cette fille qui lui avait eviter un bon nombre de probleme...

...

Aujourd'hui, n'ayant pas grand chose à faire de sa journée, comme d'habitude, le lycéen se promena dans les rues de la ville un bon moment jusqu'a tomber nez à nez avec le centre commerciale de la ville. Ayant mis le matin même le baggy que cette même fille avait dechiré et qu'il avait de l'argent en poche, il decida d'entrer dans ce grand batiment qu'il n'affectionnait pas vraiment pour faire ce qu'il qualifiait d'une corvé : acheter de nouveaux vetements. En effet, il detestait plus que tout passer des heures dans des magasins pour acheter quelques morceaux de tissu qui se vendaient à des prix exorbitant a cause de se qu'on appelait la "mode".

* Bon aller, a ce rytme la, tu n'aura plus rien a te mettre sur la peau, va te prendre deux trois trucs et sort de se lieu en vitesse *

Le jeune homme passa alors a travers la porte automatique et arriva dans le hall gigantesque de ce centre pour consommateur. Il se promena quelques temps, observant avec attention les différentes boutiques qui ne proposaient evidament que des produit dont il avait horreur : vetement de marques, ...

* Il va bien avoir un magasin qui vend des fringues plus classique et moins cher que tout sa *

Heuresement pour lui, il tomba sur une boutique qui paraisait beaucoup plus simple et a l'aspect bien plus plaisant qui le seduit aussitôt. Il n'hesita alors pas pour rentrer et passa le seuil de la porte pour decouvrir le contenue de l'enseigne. Il fit alors quelques pas et tomba devant les baggy. Une fois de plus, ses gestes furent simples et rapides : il saisisa quelques pantalon et T-shirt de différentes texture et se deplaca en direction des cabine d'essayage. Un fois devant les quelques cabines, il remarqua des vetements qui lui rappelait etrangement une personne mais sur le coup, il fut incapable de se rappeler de qui il s'agisait. Il haussa alors les epaules et entra dans l'une des boites.

* Alors qu'es ce que sa donne *

Sur les quelques cabines de la boutiques, une seule ne comportait pas de miroir et se fut précisement celle que choisisa le jeune homme, sans pour autant s'en rendre compte. Il vit cela que lorsque qu'il avait enfiler l'un des baggy et retirer son t-shirt. Il soufla alors un bon coup puis ramassa les vetements qui trainait sur le sol pour changer de cabine.

* Qui cela peut il être .... c'est peu être elle qui sais ... *

Sharaku observa la porte usée de la cabine dans laquelle il était persuader de connaitre la clientes. Il resta alors quelques instants devant la porte quand soudainement, celle-ci s'ouvrit et laissa apparaitre Usagi. Elle même avait l'air un peu troubler et le regarda sans un mots. Les deux individus restèrent aisni quelques instant avant que le lycéen ne prenne la parole pour la saluer :

- Salut, sa va depuis ?

Il ne savait absolument pas quoi ajouter puisqu'elle ne se souvenait de rien. Il allait passer pour un parfait inconnu lui adressant la parole comme si il la connaisait depuis des année. C'était pourquoi il l'avait juste salué, en esperant que la memoire lui reviendrai ...

-salut, sa va depuis?

Cette simple phrase n'avait aucun sens pour notre lapin, elle cherchait, par tout les moyens, à savoir qui était ce "Canon" comme elle le disait si bien.

Puis tout en constatant que le garçon lui avait parlé, elle remarqua que sa robe lui sciait à merveille. Le brun fixa à son tour le miroir derrière eux et contempla leur reflet, ça ressemblait presque à un couple normal. À cette pensée, il sourit légèrement devant la brune toujours dans ses réflexions. Leurs regards se croisèrent, Usagi baissa la tête avant de retourner dans la cabine et de s’enfermer pour se changer.

Sharaku se tenait là, devant une porte close ce qui le mettait en rogne. Son regard se posa sur le sous-vêtement qui avait disparu, elle se changer tout en sachant que le garçon n’avait pas bougé.

-merci. Murmura la jeune fille tout en enfilant son débardeur mauve.

-hein ???

-merci de m’avoir sauvé ce jour la.

Le garçon eut besoin d’un petit moment avant d’assimilé les paroles et ce qu’elles signifiaient. Il resta alors là bouche bée, devant cette porte de cèdre toujours close.

Usagi pouvait facilement changer de personnalité, de froide et passive elle allé vers les colères incontrôlables et les séductions pleine de charmes. Tout pouvait changer en une seconde, mais en voyant ce garçon, elle se sentait énervé à tel point qu’elle l’aurait torturé durant des heures si elle le pouvait. Mais il l’avait salué, offert un sourire radieux et même sauvé d’une mort certaine. Alors que faire ? L’aimé ? Le détesté ? Usagi n’en avait aucune idée. Mais ce qu’elle allait faire dans peu de temps ne lui venait même pas à l’esprit. Elle rouvrit la porte dans l’intention d’aller payer ses vêtements et fit signe au garçon de la suivre. Une fois leurs achats payés, les deux étudiants se rendirent dans une autre boutique qu’Usagi avait repérée en arrivant.

C’était un magasin de lolita, dont les vitrines resplendissaient de robes à dentelle et rubans bleu, rouge et noir. Tous assemblés avec des accessoires, gants, mitaines, chapeau, chaussures etc. notre lapin avait flashé, aussi bien sur Sharaku que sur les tenus de cette boutique. En entrant Usagi remarqua, à l’arrière du magasin, une tenue soldée, composé d’un jupon de tulle blanc sur lequel était posée une délicate soie noire couronné de rubans blancs. Elle se précipita dessus et l’essaya sur le champ. En ressortant de la cabine d’essayage, la brune se posta devant le miroir tout en tenant fermement l’arrière de cette gothic lolita, Sharaku ayant vu toute la scène s’avança vers la jeune fille pour récupérer les rubans de cette tenue. Il prit soin de ne pas la froisser en croisant les nœuds de soie dans le dos de la jeune femme. Puis il se positionna devant elle pour nouée le ruban de dentelle sur le haut de sa poitrine. Usagi, elle n’avait pas bougé, elle contemplé calmement le garçon qui nouée cette délicieuse robe sur son corps. Un flash, une drôle de sensation et un sourire identique à celui-ci.

-tu es splendide Usagi-chan… souffla-t-il avant de déposer sur ses lèvres un baiser fruité. Il se douté bien que la jeune fille aller le repousser mais c’était trop tentant. Bien sur, ce qui devait arriver, arriva, Usagi l’avait violement repoussé contre la cabine. Il était tombé au sol et la regardé avec cet air désemparé lorsqu’il remarqua qu’elle s’avancer vers lui, elle ferma à clef la porte de la minuscule pièce, s’allongea sur son corps et s’approcha pour murmurer à son oreille.

-Sharaku-Sempai, anata wo suki atashi desu neh ?

Le garçon bougea les lèvres avant de les recoller contre celles de la jeune fille. Ces mots il les avait déjà entendus, et oui, il sembler que ce soit vrai.

La reponce a sa question ne fut pas immédiate : bien au contraire, elle su se faire attendre. Usagi semblait toujour etonnée qu'il lui parle, comme si il était un parfait inconnu comme on pouvait en croiser tant dans cette ville. Sharaku resta tout de même droit face à elle a l'observer sans pour autant ajouter un seul mots, alimentant ainsi le silence pesant qui regnait entre les deux jeunes personnes. A un moment, leurs regards se croisèrent et cela provoqua sans tarder la fuite de la jeune femme qui se refugia dans sa cabine, laissant le lycéen seul comme un abrutit a contempler la porte de bois qui les separait

* Elle a l'air de plus du tout savoir qui je suis .... sa fait vraiment etrange, il n'y a pas a dire ! *

Alors qu'il s'appretait a sortir du magasin, une voix le retena et il comprit vite qu'il s'agisait de celle d'Usagi qui le remerciait de l'avoir sauvé le jour où elle avait recu une branche. Sharaku se retourna alors, etonné d'avoir entendu de tel mots de la bouche de cette lycéenne. Il resta silencieux un court instant, observant de nouveau cette porte de bois usée et se demandant si elle commençait a se rapeller de cette journée. Soudain, il se risqua a prendre la parole :

- Tu te souviens ?

La jeune brune ne reponda pas mais en sortant de sa cachette, elle lui fit signe de la suivre. Sharaku, intrigué par ses derniere parole, s'executa sans tarder et passa a la caisse avec elle pour payer les deux baggy et le t-shirt qu'il avait choisis quelques minutes auparavant. Après cela, il suivit Usagi qui le mena vers une nouvelle boutique qui correspondait bien plus a son style. le lycéen observa alors les fringues dont certain lui faisait assez envis : cependant il voulait savoir si la jeune femme avait retrouvée même un partie infime de sa memoire...

* Elle va jamais vouloir me repondre *

L'étudiant s'était un peu perdu dans ses pensés et son regard se promenait dans les rayons, sans pour autant vraiment faire attention a se qui l'entourait. Mais il remarqua assez vite qu'il avait perdu la jeune femme qu'il suivait ... IL secoua alors la tête puis la chercha quelques seconde. Il ne lui fut pas difficile de la trouver : il se posa contre un rayon et l'observa devant la glace, asseayant une tenue avec difficulté. Voyant cela, Sharaku se rapprocha doucement d'elle et l'aida a la fermer en nouant les quelques morceaux de soies dans son dos puis le ruban de dentelle a l'avant.

Une fois terminé, le lycéen redressa la tête et la comtepla : cette tenue lui allait admirablement bien. Il n'arrivait d'ailleur pas à detacher son regard et ne pu s'empêcher de la complimenter avant de l'embrasser, sans pour autant savoir si il allait se prendre un violent retour. Ce fut effectivement le cas et il vola sans prevenir dans la cabine qui se trouvait dans son dos. Sharaku fit alors une grimace comme lui seul savait les faire pout retranscrire cette violente clision avec le sol puis se redressa pour decoller son dos du sol de la boutique. A sa grande surprise, Usagi s'approcha de lui sous le regard interrogateur du jeune homme qui se demandait la raison de cela

* J'espere juste que ce n'est pas la deuxieme vague qui approche *

La brune ferma alors la cabine avant de s'allonger sur lui pour lui demander si elle lui plaisait. Sharaku ne pris même pas la peine de lui repondre et l'embrassa une nouvelle fois, plus longtemps. Apres cela, il lui demanda tout de même ce qui le harselait depuis tout a l'heure, en le tournant mieu.

- Il n'y a pas 100 filles dans cette ville qui m'es sauvé la vie et qui m'ont fait atant rire en l'espace d'une journée !

- Il n'y a pas 100 filles dans cette ville qui m'es sauvé la vie et qui m'ont fait autant rire en l'espace d'une journée !

-je te remercie...

notre brunette se changea alors brusquement, elle quitta la robe de dentelle devant sharaku, faisant glissé lentement les fibres sur son corps blanc. la robe s'étala sur le carrelage devant les yeux rond du garçon, elle s'allongea de nouveau sur lui et commença à mordiller le lobe de son oreille. Sharaku ne put empêcher un gémissement sortir de son gosier, l'oreille était chez lui une zone érogène et elle lui mordait avec acharnement. la brune descendit alors sur sa nuque, l'embrassant langoureusement tout en douceur.

son rythme cardiaque s'activa sous l'effet des coups de langue donné par notre lapin. Sharaku tourné de l'œil, il trembler mais demeurer impassible.
Puis, voyant qu'il ne réagissait pas vraiment, la brune descendis sur son torse, elle le dévêtit et y déposa quelques tendres baisers, tous aussi doux et passionnés. le garçon haletait, il respirait fortement et cru mourir lorsqu'elle descendit plus bas.

-pas....han....Pas ici!

-bien...alors j'arrête.

Usagi se rhabilla rapidement et sortit de la cabine. mais une main tremblotante la retint par le poignet.

-a...Attends, je remet mon t-shirt et j'arrive d'accord?

pour toute réponse, la brune lui offrit un sourire charmeur. le garçon enfila son haut et parti accompagné de la demoiselle, ils quittèrent la boutique et se rendirent dans un endroit bien connu de Sharaku.

Le jeune homme n'avait pas vraiment a se plaindre de la situation dans il se trouvait. Il était toujours alongé sur le sol de la boutique, bien a l'abris des regards dans une des cabines d'esayage auprès d'usagi. Mais cette fois, la situation evolua un peu : la jeune femme quitta sa robe devant le regard etonné de Sharaku qui ne bougea pas d'un poil : la vue n'était vraiment pas désagréable. Mais ce n'était que le début car la brune se replaca sur lui et commenca a lui mordiller l'oreille pendant qu'il lui embrassait le cou.

Sharaku ne pu s'empêcher de pousser quelques petits gemissement repetitif qui temoignaient de son plaisir. Il continua de faire de même quand les baisers de la jeune femme decendirent vers son cou. Le lycéen tourna alors un peu sa tête pour laisser plus de place à Usagi. Mais une fois de plus, la jeune femme decida d'aller plus loin et lui ota son t-shirt pour s'attaquer a son torse : la respiration du jeune homme s'accelera et cela de maniere crescendo a fur et a mesure que les baisers descendaient.

-pas....han....Pas ici!
Ces quelques mots sortirent tout seul, sans même reflechir. Car plus les secondes passait et plus haraku se sentait con de les avoir dit. Il en mourait d'envis mais la réaction d'Usagi l'etonna d'autant plus. Il était un peu degouter de ce qu'il venait de dire, surtout quand il voyait Usagi se revetir devant lui, le laissant palir d'envis.

* Et puis merde ! *

Alors qu'Usagi s'apprêtait a partir, il lui saisisa le bras et lui proposa de l'attendre : il allait essayer de la ramener au lycée Kyo, dans sa chambre.