Nouveau départ [PV Léo]

Le ciel rayonnait de milles feux, les arbres verts de l'été resplendissait de leurs couleurs et c'est non loin d'une magnifique forêt qu'elle se fit déposer au portes de l'enfer. Holly ne connaissait en rien ce lycé. Tout ce qu'elle avait entendu dire c'était qu'il était très réputer pour les jeunes filles studieuses comme elle. Enfin... C'est ce que sa ''mère'' lui dit.

Elle ouvrit la porte de la limousine noire, puis elle mit pied à terre, scruptant de ses yeux océannique les portes dévasté par les années. Peut-être bien par quelque chose d'autre... Elle regarda par dessus son épaule, puis elle vit le sourire malsain se dessiner sur le visage de sa tendre ''mère''. Elle parlait à Sayer. Son supposer père qui a tuer sa famille des années auparavant. Elle avait l,air complice d'un petit jeu qu'elle ignorait encore.

Le major d'homme lui remit sa valise, sans un mot, elle la prit puis elle avança vers les portes de métal. Elles s'ouvrirs à son arrivé, puis elle vit le lycé devant elle avec des centaines d'ados se bousculant les uns les autres. Un frisson de terreur la mit en garde de ne pas entrer là, mais les portes se refermèrent aussitôt, laissant derrière elle que de souvenirs anciens.

Elle avança timidement vers le chemin menant au lycé, puis elle vit un jeune homme s'approcher d'elle. Elle fit comme si elle ne l'avait pas vu, mais avait l'étrange impression qu'il la suivait. Un papier avec le numero de sa chambre lui avait été remis, alors elle avança plus rapidement vers cette chambre. Elle la vit puis elle entra. Elle vit la chambre très malpropre et sans dessus dessous. Elle eue un dégoux puis elle laissa tomber sa valise par terre lorsqu'elle sentit une chaleur dans son cou.

En cette journée resplendissante, je convoyais les rues de ma nouvelle ville. Sac à dos en main, je traversai les milles et unes rue qui me séparai de mon nouveau lycée. Rien n’était intéressant, non, que des gens minable qui circulèrent un peu partout, me dévisageant au passage. Il fallait croire qu’ici au japon, les gens n’étaient pas très sympathiques avec les gens étranger… Quoi que je m’en foutais plus qu’il le fallait de ces gens pitoyable. Je traversai la rue sans réellement regarder la circulation… Un taxi s’arrêta devant moi avant de me crier des injures. De mon regard lassant je le regardai, puis je continuai mon chemin. Le taxi repris sa route par après, prenant bien soin de me lancer un truc derrière la tête. Je m’arrêtai à ce moment, respirant un bon coup pour garder mon sang froid, puis je me retournai, ramassant la chose qu’il m’avait lancé. Une boîte de cigarette. Je la mise dans la corbeille à mes côté, sachant que l’avoir tué aurait juste abrégé ça mort lente qui s’infligeait lui-même. Relevant les yeux, je remarquai les portes métalliques de mon lycée. Il ne manqua plus qu’une rue avant de trouver le parc d’amusement qui m’attendait. J’allais enfin savoir si ce lycée était vraiment si mauvaisement réputer, car tuer ou battre des gens était pour moi un simple travaille. Je traversai une nouvelle fois la rue, me rendant de l’autre côté pour y franchir les portes. Le gardien me regarda d’un air amusé.

- J’espère que tu t’attendras bien avec les autres jeunes gamins…

Un sourire de sarcasme était dessiné sur son visage ridé. Mais moi, je continuai mon chemin, ne prenant peine de gaspiller ma salive.

J’étais enfin rentrée dans le gouffre de l’enfer et je m’y enfonçai encore plus à chaque pas que je mettais devant moi. Je marchais sur le pavé, regardant un peu les gens qui m’entourèrent. Certains était ordinaire, surement ceux qu’on pouvait manier comme on le voulait et d’autre était armé jusqu’aux dents d’une bande de chien arrangé, prêt à vous mettre à terre pour vous massacrer à coup de n’importe quoi. Et d’autre qui jouait les gros dur mais qu’enfaite, il était les premiers à pleurnicher à leurs mères. Bref, je continuai toujours mon chemin avant de croisé une jeune femme. Du coin de l’œil, j’avais remarqué qu’elle était une petite blondasse et semblai être tout comme moi un peu perdue. Je décidai donc de coupé mon chemin et de la suivre de loin..Ma mission pour le moment était de retrouver Holly cashemire… Une jeune gosse de riche aux cheveux blond et aux yeux bleu azure. Je m’infiltrai dans les dortoirs et je la vis au loin se diriger vers sa chambre. Une bonne idée me dis-je, car si ce n’était pas elle… Aussi bien de profiter de prendre du bon temps. Je m’approchai subtilement de sa chambre, me faufilant derrière. Son parfum était si doux, sucré et envoutant… Ce genre de parfum savait me donner envie de plaquer cette fille contre le mur et de la baisé jusqu’à épuisement.. Cependant, je n’avais pas l’intention d’imiter les mecs qui était dehors, car moi, j’avais beaucoup plus de classe.

- Tu ne devrais pas rester seule ici.., dis-je d’une voix neutre.

J’attendais bien sagement qu’elle se retourne, je n’avais guerre la patience à faire mumuse, je voulais retrouver cette Holly au plus vite.

Un courant d'air chaud s'était logé sur ma nuque. Mon corps se mit à trembler de tout mon être. Un jeune homme m'avait suivit jusqu'ici? Voulait-il me tuer? Bon sang... J'avait de plus en plus froid dans le dos. Puis vint cette voix si douce et chaude à mes oreilles. Je fermai les yeux et je l'écouta parler.

- Tu ne devrais pas rester seule ici...

Puis vint mon rire sarcastique. Il me prend pour qui? Je me tournai et ouvrit mes yeux. Il avait un regard si maléfique, un regard perçant. Je voyais en lui une histoire, une histoire semblable à la mienne. Il est un enfant adopté, comme moi. Je le sentais, je comprennais sa douleur. Mais la vraie question que je devais me poser, pourquoi m'avait-il suivit jusqu'ici?

De ma voix aussi neutre que la sienne je me lança enfin à risquer l'humilité.

''Que fais-tu dans ma chambre?''

Je ne souriais pas. J'attendais simplement une réponse de sa part. Les bras croisés, les yeux rivé dans son regard ténébreux, je me préparais au pire.

Elle se retourna vers moi, j’en fus plus que surpris mais mon visage resta de marbre. Elle était si belle, si douce, des traits parfait et des yeux azure… bleu tel l’océan…Yeux bleus, cheveux blond, une attitude à la haute... Holly.., oui, c’était bien elle. Rien à voir son allure, c’était bien elle, cette gosse de riche. Quel gâchis, avoir sus.. Je n’aurais jamais accepté ce que Sayer m’avait demandé. Dommage mais c’est la vie, cette petite allait souffrir.

- Que fais-tu dans ma chambre

Je la regardai un instant… Maintenant que je l’avais trouvé, je devais jouer à doux avec elle, il fallait sortir le côté qui n’était pas moi et jouer la comédie à son plein grès. Je tirais un sourire en coin, puis me lança à lui dire une réponse bien banal.

- Une aussi belle…Demoiselle tel que vous ne devrais pas voyager ainsi dans ce lycée rempli de pervers. J’ai remarqué que beaucoup vous reluquais et je ne voulais pas prendre de chance…

Je la regardais un instant, puis je décidais d’avancer vers elle.. Assez pour qu’elle soit dos contre mur. J’étais si près que je pouvais ressentir nos souffle chaud s’entremêlé. Un moment où normalement je prenais la décision de baisé ou non ces chères femelle.

- Tu sais ce que je pourrais te faire ?

Je restai un moment d’un regard froid avant de lui présenter une nouvelle fois ce sourire forcé. J’avais lus en elle une hésitation et c’est ce que je voulais voir, elle n’était pas du genre facile, c’était bien... J’allais avoir plus d’amusement ainsi. Je repris finalement ma comédie, laissant échapper un petit rire qui n’allait pas du tout avec mon air de dur.

- Tu vois, les mecs qui t’attende dehors son tous ainsi.. Fait gaffe.

Je tournai maintenant les talons me dirigeant vers la porte d’entré… J’espérai que la proie allait prendre à l’hameçon.

Tout d’un coup, je suis restée surprise. Il me disait que beaucoup de garçon me reluquaient. Étai-ce vraiment vrai? Ce jeune homme avait un air qui disait : ‘’Ne m’écoute pas, je ne dis pas la vérité!’’. Je pouvais apercevoir dans le plus profond de ses yeux qu’il cachait quelque chose d’anormal.

Puis il me plaqua contre le mur. J’étais certaine qu’il allait m'embrasser ou me violer. Affaiblie par le voyage, je n’aurais su me défendre contre cette brute. Son souffle venait se mêler au miens et je commençais à haleter de peur. J’étais certaine qu’il me voulait du mal. Il était collé contre moi je sentais son cœur battre contre le miens la terreur prenait place sur moi. Puis vint les seuls mots qui vinrent m’apaiser. Bizarrement, j’aurais du avoir peur. Mais au fin creux de sa voix je pouvais entendre encore cette phrase me disant : ‘’Ne m’écoute pas, je ne dis pas la vérité!’’.

Puis j’avais ris lorsqu’il m’avait dit que tous les mecs dehors étaient tous des violeurs et des batteurs de jeunes femmes. Pensait-il que j’allais vraiment prendre dans son piège et le suivre comme son ombre? Bien sûr que non! J’avais déjà là plus de classe. Je me suis avancé à pas rapide vers lui pour lui tirer le bras droit et le virer face vers moi. J’avais eu le temps de refermer la porte derrière lui aussi rapidement que je lui avais tiré le bras. Puis je l’ai plaqué contre la porte. Un sourire sur mes douces lèvres rosées et je lui ai murmuré lentement à son oreille :

‘’Tu serais incapable de me faire du mal. Je le ressens car ton corps transpire de cette douleur en toi, je le vois dans tes yeux de couleur de miel et ton âme me cris de t’accueillir dans mon monde.’’

Poétique? Pas du tout. J’ai simplement le sentiment que les autres me parlent sans divulguer… Mes mains étaient bloqué entre les siennes, mon souffle s’entremêlait avec le siens et je crus à l’instant même que j’allais faire une crise cardiaque. J’étais chaude. Peut-être que je faisais de la fièvre ou simplement… J’aimais sa présence. Ma tête s’écrasa contre son torse. [Holly est très petite comparé Léo!!] Il était nouveau dans ma vie, mais pas de vu. Creusant dans mes plus profonds souvenirs, j’avais fermé mes yeux puis j’avais essayé de visualiser où avais-je pu déjà entrevoir cet homme à l’âme déchiré et au cœur si cruel.

Je traversai le cadrage de la porte, je m’apprêtai à partir mais une chose attrapa mon bras, puis mon dos fut plaqué contre la porte dure et froide de la chambre de la jeune femme. Si je n’aurais joué la comédie, cette jeune blondasse aurait pris coup sans même si attendre mais j’avais sus contrôlé mes pulsions. Je la regardais de mon visage sans âme, soupirant devant ce sourire doux qu’elle m’offrait. Elle me murmurait à la suite à l’oreille des mots qui me fit rire intérieurement… Elle était si naïve… J’aurais pus bien la tuer à tout moment et cela ne m’aurais pas dérangé. Pour ce qui était de la douleur… Avec le temps j’avais sus la détruire et de lui faire face, maintenant, cette chose n’était que pour moi une chose inutile et ridicule… Mais ce qui me fit rire encore plus ce fut qu’elle me dise que mon âme voulait être accueilli dans sont monde. Mon monde était autre du sien.. Bien différant et je ne voulais connaître le sien... Trop parfait pour moi, car un démon comme moi ne pouvait vivre vers la lumière, seul les ténèbres était capable de me faire vivre. Soudainement, sa tête vire s’accoté contre mon torse, elle semblait pensive.. Mais c’était guerre sur moi qu’elle allait trouver quoi ce soit, ce fut donc de mon majeur que je repoussai sa tête. Je la regardai de mes yeux couleur miel, puis soupira encore une fois.

- Désolé mais je ne suis pas un oreiller chère et j’ai autre chose à faire que de te regarder penser…

Je la repoussai légèrement avant d’entamer mon premier pas vers la sortie des dortoirs, je devais appeler Sayer… Et me préparer pour le début de mission.

QUOI! Il m’a repoussé! Quel ingrat! Je le déteste du plus profond de mon être! Le voyant se retourner et partir j’ai prise mon porte monnaie dans le creux de mon jeans troué et je lui ai lancé en arrière de la tête, atteignant sa nuque. J’étais si enragé qu’il m’ai repoussé… Je n’aimais pas son attitude. Un grand gaillard qui ce la jouais ‘’cool’’. Je n’aimais pas du tout son style. J’étais vraiment en colère et mon agressivité augmentait. Jamais je ne m’étais fait repousser par un gars, jamais.

Encore fâché par son geste, j’ouvris la porte de ma chambre et je me suis écrasé sur mon lit, attendant qu’il quitte le couloir. Je ne pleurais pas, ce n’étais pas du tout mon genre. J’étais simplement en colère contre lui, car je ressentais au profond de moi-même qu’il était un homme gentil. Je ressentais le mal qu’il avait et je ne savais pas comment je pouvais l’aider… Peut-être en montrant de l’intérêt pour lui ou bien peut-être l’inverse… Il était dur à comprendre, mais je savais que je pourrais arriver à le faire aimer certaine chose de la vie.

Mon cœur battait la chamade car je sentais qu’il était proche de moi. Je cachais mon visage dans le plus profond de mon oreiller, essayant d’imaginer qu’il était partie. Depuis mon arrivé ici, rien n’allait. Les gens semblaient tous bizarre et ce jeune homme qui m’avait suivit jusqu’ici… Il cherchait quelque chose bien sûr mais quoi? J’étais très fatigué du voyage et j’aurais bien aimé qu’il parte vite, qu’il me laisse seule, que je pleure seule dans mon coin, qu’il me fiche la paix enfin… J’aurais aimé avoir une autre famille, de ne pas regarder les autres plus haut que mon nez, d’avoir pleins d’amis à qui parler… Mais au lieu de sa, Sayer avait tué ma famille et je me retrouvais seule, dans un manoir ou les jeunes m’écœuraient car j’étais trop riche pour eux.

Je me suis levée encore en rage, non contre lui mais j’étais fâché d’un peu de tout. Je lui dis très énervée :

‘’J’en ai mare! Je suis fatigué de cette vie que Sayer m’a donné, je n’aime pas qui je suis, je n’aime pas ma vie, je n’aime pas non plus les gens qui m’entour. Je n’ai pas de meilleure amie à qui je peux confier tout mes secrets, non … J’ai personne. Va-y. Met fin à mon existence et abrège ma souffrance en perçant mon cœur d’un mal inexplicable.’’

Pour la première fois de ma vie, j’avais débordé le vase et une goutte de ma peine s’écroula sur ma joue pour finir par m’embrouiller la vue avec toute cette étrange sensation qui m’envahissait.